Par amour, on fait parfois des erreurs, on offre du bonheur.

Personne ne devait savoir, non! Encore moins son petit ami ou ses parents. Qui pourrait comprendre? Ce petit être qui vivait en elle, elle ne pouvait pas le tuer. Elle passa sa journée dans le noir, son esprit trop obscurcit par les idées sombres pour vouloir des rayons de soleil.

Il était déjà rentré en Angleterre et elle était seul dans cette grande maison de vacances, encore pour six mois, ensuite elle commencerait son apprentissage de journaliste. Personne ne savait et tout allait bien ce passer; les médecins de l'hôpital avaient donnés leur accord pour qu'elle passe les jours de la fin de sa grosses là bas, l'accouchement était prévu le deux févriers 20 et elle repartait deux semaines plus tard. Personne ne s'étonnait de ne pas la voir sortir beaucoup de la maison.

Elle est enfin maman. Mais, elle ne peut le garder: un enfant l'empêcheraient de finir ses études, d'avoir un couple sur et stable et bien d'autre chose qu'elle s'est imaginé. Quoi qu'il en soit, il est là dans ses bras. Un petit Basil, il a déjà une touffe de cheveux blond, un peu comme son père. Une larme coule sur sa joue. C'est la dernière fois qu'elle le tient contre elle, qu'elle le voit d'aussi près, qu'elle lui dépose un baisé sur le front.

Doucement la jeune femme le déposa devant la maison. Celle d'ami sorcier de ses parents qu'elle a déjà entendu parlé de leur envie d'avoir en enfant, sans jamais le pouvoir. Elle sonne, puis disparaît dans "Clop"sonore.

De la même façon que l'a été Harry Potter, elle l'avait emballé dans un tissu, pour le protégé de la fraicheur de la mousson. Sur ce tissu, un lettre écrite à la plume à papote avait été déposé. Elle ne demandait qu'une chose que l'enfant fasse ses études à Poudlard et qu'il garde son jolie prénom.

La porte s'ouvrit - la jeune femme s'enferma chez elle - un couple se pencha sur le bébé qui dormait - une larme coula sur sa joue - des sourires se dessinèrent sur leur visage - elle éclata en sanglot - ils gardèrent l'enfant.