apres avoir passee la journee seule, je sortie pour prendre l'air. C'etait bientot les vaccance et j'avais recu une lettre des parents apres le festin du soir. je m'assis a terre, devant un arbre en enlevant mon sac qu'etait au tour de mon cou. des pat retentire, et je tourna brusquement la tete en la cognant contre l'arbre, je regarda au tour, mais il y avait personne. je me desida a l'ouvris et pris une photo que j'avais recu de ma premiere lettre que m'avais envoyer les parents. je les contempla et pris la lettre du sac. je l'ouvris soigneusement et deplia la lettre. en la lisent, mes yeux resta bloquer sur la phrase : tu devra donc rester a l'orphelina cette ete... .

je resta la, les dents serrer, des l'armes me vinrent au yeux et coula tout le long de mon visage.
j'avais une envie folle de crier de me lever et de courire dans tout les sens, de me cogner, "mais tout cela ferais trop de bruits et je risquerais d'attirer l'attention", me dis-je.

je chiffona la lettre et la jetta au loin pour ne plus l'avoir sous les yeux. je me leva en remettant la lettre de la ou je l'avais prise, mais un autre bruit retentit, je regarda par tout, en tournat sur moi meme, mais il y avait a nouveau personne. ou ses mon imagination, ou je devient folle, me murmurais-je. et d'un pat decider, je me rassit et regarda la chateau a present sombre, et des lumieres ouverte.

Théo D'or se baladait souvent dehors quand la nuit menaçait de tomber. Il se promener tranquillement dans le parc. Il vit Julide, une fille de sa maison, près d'un arbre. Pour lui, c'était l'occasion de parler, et un peu plus tard ils pourraient rentraient ensemble dans la salle commune.
En parlant de salle commune, il ne la voyait plus trop ces temps-ci. Plus il s'approcha, plus il remarqua qu'elle semblait triste. Il s'était, sans s'en rendre compte approché d'elle dans l'ombre des arbres et très discrètement ce qui avait provoqué chez elle des retournées spontanée.
Enfin conscient de sa maladresse mouvante, il se mit à la lumière et dit à haute voix :

- Salut Julide, tu vas bien?

Cela était vraiment déplacé, elle avait les larmes qui coulaient sur ses joues. Il se rendu compte également qu'il ne la connaissait pas tant que ça, finalement. Il l'avait croisé uniquement à l'Excursion du Directeur.

- Désolé de manquer de tact. Tu veux un mouchoir?

Il lui tendit un, se disant qu'il fallait mieux commencer en douceur, sans la harceler de questions sur ce qui lui arrivait.

un jeune homme approcha, et se mit a la lumiere en me parlent, Theo D'or Stella, le jeune homme de l'excursion, a qui j'avais parler q'une ou deux fois. j'essuya les derniers larmes de mon visage avec le mouchoir qu'il me tendis. en regardant au loin,

salut, ben sa va. merci, pour le mouchoir, ses sympas.

mais je n'arrivais pas a mentir, des autres larmes coullerent. en les ressuyant, je le regarda et lui dit:

et toi sa va? je savais pas que tu te promennais dehors dans le noir. en meme temps, je sais rien sur toi.

je souria en essayent de chasser la lettre de mon esprit, et en me forsant a ne pas pensser a l'orphelina, mais je n'y parvint pas. je mi ma tete dans les mains en attendant la reponse de Theo.

Théo D'or constata que Julide était très franche et disait tout ce qu'elle pensait. Cela ne le dérangea pas le moins du monde. Il lui sourit et répondit :

- J'aime bien me balader la nuit dans le parc. Je trouve que l'air nocturne de juin est fantastique. On se sent plus libre...

Il regarda Julide essayer retenir ses larmes, qui malgré elle, coulaient tout de même.

- Apparemment, toi, tu as du mal à te sentir libre. Comme tu l'as dit on ne sait rien l'un de l'autre, mais c'est toujours important de se confier. Si tu veux me dire ce qui te blesse.

je regarda Theo et lui fis un sourire quand il dit qu'il aimait se balader la nuits.

j'avoue, ses agreable.

Theo dit que ses toujours important de se confier, je reflechis un court instant, et puis a quoi bon, sa me ferais peut-etre du bien. songeais-je.
respirant un bon coup, je passa avec le rever de ma manche pour essuyer les larmes qui continuais de couler.

ben, en faite, je sais pas trop comment dire tu vois, je vivais a l'orphelina,et il ya pas lontemgs j'ai recu une lettre en disant que mes parents etaients vennu tu vois. je les ai vue et tout, grace au dirrecteur, et ils m'ont dit: pendant les vacc' tu pourra venir a la maison. mais se matin je recois une autre lettre en disant que je ne pourrais pas les voir et que je devrais aller a l'orphelina. sa me derrange pas d'y retourner mais j'aurrai voulu passer plus de temps avec eux tu voi.

en disant cette derniere phrase je me mit a sangloter. en essayent de me retenir je souria et plaisanta:

et la maintenent je suis la a t'enbeter avec mes histoire.

Théo D'or fut très touché par l'histoire de Julide. Lui même savait que les parents pouvaient être très bizarres.

- Tu ne m'embêtes pas du tout, dit-il d'un ton qui se voulait rassurant.

Il était choqué par l'histoire mais un détail lui échappait.

- Pourquoi tes parents ne peuvent pas te prendre cet été? Il s'est passé quelque chose? Et je voie plus que très bien ce que tu veux dire.

Il aurai voulu rajouter "profites de tes parents tant qu'ils sont là, toi au moins, tu les as" mais cela faisait très égoïste.

je lui sourrit, en passant mes mains sur mon visages dont les larmes ne saissait de couler.

ben, je sais pas, sa ils l'ont pas dit. tous se que je sais, sais qu'ils ont eux des compliquation et que je dois retourner a l'orphelina cet ete.

je soupirra, je passa la main dans mes cheveux en les rejettant en arriere. je le regarda et lui dit:

euh, a l'excurtion, t'etait avec livy. je ne la connais que de vue, mais je ne te vois plus avec.mais je veux pas jouer la curieuse, si tu veux pas repondre, repond pas. je ne t'oblige pas.

je lui fit un sourire en le regardant, en penssant au parrents.

Théo D'or prit la main de Julide où elle tenait le mouchoir et la dirigea vers son visage, l'obligeant à sécher les larmes qui continuaient de couler.

- Tu pourras les voir l'été prochain, j'en suis sûr. Ils passeront te voir je suppose aussi. Ils ont surement des raisons. Quoi qu'il arrive, soit fière d'eux. Je parie qu'ils veulent ton bonheur.

Une fois de plus, une personne de plus lui parla de Livy. Sans pleurer mais plutôt froidement il lui répondit :

- Tu remarqueras que tu ne vois plus Livy au château aussi. Elle est partie.

Il se reprit :

- Désolé d'employer ce ton, mais tout le monde m'en parle et ça m'agace! Et je ne sais pas pourquoi elle est partie!

il prit ma main pour secher les larmes se qui me fis rougir, sens trop savoir pourquoi.

merci, tu me remonte le morale, tout se que j'espert, ses que je vais arreter de pleure.

je souria, apres lui avoire demander pour livy, il utilisa un ton bizars.

pour le ton, se n'est pas grave. mais ses a moi de m'excuser, je t'ai demander pourquoi je ne te voyais plus avec, et sa doit etre effectivement agacant que tout le monde te le demande. mais bon, oubliont un peux, avant que mes larmes recoules commes la tanto. tu fais quoi pour les vacc'??

essayant de changer de sujet, j'essuya pour la derniere fois les larmes qui restais, en prient pour que sa ne re coule plus.

Théo D'or sourit et répondit :

- Tu vas arrêter de pleurer, c'est sûr. Tu vas relativiser et tout ira mieux. Mais c'est parfois bon de se laisser aller. De plus, pleurer est encore la meilleure chose que l'on ai inventé pour être moins triste.

Il répondit ensuite à la question des vacances :

- Je vais passer mes vacances chez ma cousine parce que mes par...

Il fallait mieux éviter de se lancer sur ce sujet douloureux et qui revenait encore plus que sa situation amoureuse. Puis tout le monde n'avait pas besoin de savoir qu'il avait une serial mother.

- Parce que rien!

je souri, mais Theo devint bizar. fallait peut-etre re changer de sujet.

tu va surement bien t'amuser cher ta cousine. Ariane ses bien sa son nom.
la connais pas, que de vue. mais elle ressemble a fille chouette et sympas.

je regarda au loin, il fesait plus sombre que tout alleurs, mais on apercevais toujours le chateau, qui etait a present sombre aussi. je regarda Theo et lui demanda:

ta sommeil? parce que si c'est le cas, on pourra monter dans notre sale commune.

je tourna la tete, mais j'etais sur que si je partais me coucher maintenant, j'aurai du mal a m'endormir. sur tout apres sa.

Théo D'or regarda le ciel étoilé comme si c'était lui qui allait répondre à la question de Julide. Finalement, il détourna son regard, et la fixa calmement. Il lui dit :

- Non ça va, je n'ai pas sommeil. Tu veux que l'on reste un peu dans le parc?

Il regarda les alentours, pour voir si un adulte ne serait pas là pour les réprimander. Il n'y avait personne. Il s'allongea dans l'herbe, se sentant détendu.
Il attendit la réponse de Julide, peut être voudrait-elle rentrée.

je souris et repondis :

ok, ses comme tu veux, moi sa ne me derrange pas. du momment que aucan prof' ne vienne.

je rigole puis regarda le ciel plein d'etoile, c'etais magnifique. Theo s'allongea sur l'herbe, apparement c'etais conffortable. mais je resta asise, les deux bras en arriere, a contempler tout sa.

Théo D'or resta sur l'herbe à contempler le ciel. Julide regarda le ciel mais ne se joint pas à sa position.

- Tu sais, c'est la fin de l'année, les profs s'en foutent un peu. De plus, ils corrigent tous les examens.

Son Boursoufflet ailé décida de montrer le bout de son nez. Il se plaça dans le coup de son maitre.

- Tiens, je te présente Tom, il est pas chou?

je sourit, quand il dit que les profs etaient sans dout auccuper a corriger les examens.

en parlant d'exam' , j'espert que je l'ai reussit.

un boursoufflet surgi, et se placa dans le coup de Theo.

oooh, comme il chou, Tom, jolie nom.

je me coucha sur le côte coude a terre, et main tenant la tete, je carraissa le boursoufflet avec un doigt de mon autre main.

si je ne me trompe pas, sa ne mange que des fruits? si tu veux j'ai une pomme dans mon sac

je souri et continua de carraisser le boursoufflet en attendant la reponse de Theo.

Théo D'or sourit au compliment de Julide et dit :

- Merci. Oui, je pense qu'il sera heureux de la déguster...

Il le regarda et rajouta :

- Il m'a tellement servi, et tiré de tellement de mauvais pas. Je lui suis vraiment reconnaissant!

je souris en me redressent, je prend mon sac, louvre, et prend la pomme vert qu'etait enballer dans du papier, pour ne pas quel deviennent tout molle. j'enlevais le papier et le fourra dans le sac apres avoir frotter la pomme avec. je la lui tendis.

tiens, la voila. j'espert quel est encore juteuse.

Théo D'or voulut prendre la pomme pour la tendre à Tom, mais à la vue de celle-ci, il se jeta sur elle, et malgré sa petite taille (on a la nette impression que la pomme est plus grosse que lui), il l'a goba en entier en l'espace de deux secondes.
Devant l'expression stupéfaite de Julide, il dit :

- Il fait toujours comme ça, il est incorrigible!

Il était heureux car grâce à l'intervention de sa boule de poils, Julide pensait surement moins à l'orphelinat.
Pour remercier Julide, Tom embrasse Julide sur la joue.

je tendis la pomme, mais Tom s'y jeta et la mangea, je souri apres avoir entendus la phrase de Theo.

c'est pas grave, il avait surement faim.

ce pendant, toute mes penser sur l'orphelinat, n'etais plus qu'un souvenirs. Theo etait la, en presensse de son boursoufflet Tom. en le regardant, celui-ci vient m'embrasser sur la joue. je souria.

merci, Tom. apparement, il c'est regaler.

Théo D'or sourit devant la scène.

- Il est peut être incorrigible, mais il est très polie et il sait très bien remercier les gens. N'est-ce pas Tom?

Mais celui, après avoir bien mangé, dormait déjà.

- Et voilà, il digère, commenta-t-il en rigolant.

je souris.

ah sa oui. mais en tout cas, il s'endort tres vite le petit Tom. moi y me faut des heures avant que je trouve le sommeil, et encore.

je rigola et regarda le ciel etoiler.

Théo D'or s'étira encore plus sur le sol et fit comme Julide, c'est à dire regarder le ciel. Cela se voyait que c'était l'été : il n'y avait aucun nuage. Contrairement à Julide, il commençait à s'endormir dans cette position bercé par la beauté des cieux. Il se releva pour tenir le coup et sourit à Julide, ne sachant quoi trouver comme sujet de conversation maintenant.

je souria.

je suis en ruptur de stock pour trouver un nouveaux sujet de convers'.
en plus, je sens plus mes jambes mais le ciel est tellement beau que j'ai vraimant pas envis de bouger quoi. dit, t'es sur que tu n'a pas sommeil? j'ai crue que tu partais la un moment.

je dis tout saen essayant de faire rire Theo et de lui faire oublier sont sommeil, en attendant, je souria un peux honteuse, mais heureuse en regardant le ciel.

Théo D'or, honteux de s'endormir alors qu'il parlait avec Julide, joua tout de même sur la sincérité :

- Si je suis un peu fatigué... Mais on peut continuer à parler si tu veux. Si je m'endors, c'est pas grave, j'aime bien dormir à la belle étoile.

Sur ces paroles, il se rallongea sur le sol, et regarda Julide. Il fallait trouver un autre sujet de conversation, sinon, c'était certain, il allait sombrait.

ben, moi sa me derrange pas non plus de dormire comme sa tu sais.

je souria en m'allongea et en fesant attention a Tom tout en regardant les etoiles.

alors, comment tu trouve poudlard? desoler, je sais pas trop de quoi parler.

je rigola en attendant sa reponse, et replongea le regard dans le ciel.